Rey Pandragon, le cuistôt alchimiste !

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Pandragon...............................
...............................Rey

.:: Informations sur la Race ::.

- L'espèce et la race de votre perso : Drakonien

Descriptif :
Les drakoniens sont des humanoïdes que l'on pense issu de l'union de dragons et d'autres humanoïdes, probablement des humains. Ils vivent en tribus sauvages ou au service de riches maîtres. Peu d'entre eux sont indépendants et résident dans une cité comportant des individus d'autres espèces.

Les drakoniens mesurent entre 2.40 et 2.70 mètres, pèsent entre 150 et 180 kilos et présentent des caractéristiques draconiques. Leurs peau est écailleuse, parfois tachetée ou rayée de marques plus ou moins sombres. Leur visage évoque immanquablement leur héritage draconique : long museau, crinière écailleuse plus ou moins fournie et cornes dressées vers l'arrière de la tête. Leurs ailes présentent parfois des zones plus claires.

Ils aiment se vêtir de cuir et de métal. Ils font preuve d'une très grande loyauté envers ceux qu'ils aiment, et peuvent être d'une incroyable violence envers ceux qu'ils perçoivent comme une menace.
Capacités :
Du fait de leur origine semi-draconique, chaque drakonien nait avec une affiliation à l'un des éléments originels : Terre, Eau, Feu et Air. De par cette affiliation, chaque drakonien reçoit à la naissance un souffle correspondant à son élément. Cependant, certains accouplements donnent naissance à des drakoniens possédant un souffle n'appartenant à aucun dragon.

De plus, cet héritage draconique leur octroie une grande force musculaire et spirituelle, mais également une manœuvrabilité plus que correcte durant les vols qu'ils peuvent effectuer.

Ayant des ancêtres parlant deux langues totalement différentes, les drakoniens parlent les langues de leurs parents en plus du « parl » standard. De ce fait, ils ont une certaine facilité à apprendre et s'adapter aux langages auxquels ils peuvent être confrontés.

Dernière capacité plus ou moins présente chez nos amis les drakoniens, celle de sentir la magie à proximité ! En effet, ces-derniers sont capables de cet exploit. Cependant, en fonction de leur naissance, ce don est plus ou moins marqué chez ces drakéides. Il est normal qu'un drakonien né d'un parent elfique soit plus sensible qu'un drakonien né d'un parent nain...
Inconvénients :
Comme tous les drakéides, les drakoniens ont besoin d'une dose de chaleur quotidienne. Heureusement pour eux, ils peuvent s'habiller : ce petit souci est vite réglé.

Naturellement comme leur parent draconique, les drakoniens ont la peau des ailes fragile et facilement déchirable...

.:: Informations Générales ::.

- Les caractéristiques de votre perso :

Descriptif :
Rey est un drakonien ayant des écailles d'une teinte à la limite du bleu et de l'argent. Haut de 2m60, sa carrure est assez peu imposante pour son espèce grâce à ses 130 kg. Ses yeux pétillent de malice et de curiosité dès qu'il est question de cuisine ou d'alchimie. Ses grandes cornes courbées pointent vers l'arrière et non vers le ciel ; un bouquet de plumes écailleuses lui tient lieu de crinière. Il porte un talisman tribal autour du cou et une tenue décontractée en toutes circonstances : pantalon de toile suffisamment ample, chemise en lin taillée de la même manière et trouée pour ses ailes.
Caractère :
Assez calme de nature, il n'en reste pas moins un drakonien, ce qui lui vaut des moments d'agressivité envers certaines personnes et des envies de solitudes. Curieux et ne se décourageant pas facilement, il s'est passionné pour la cuisine et l'alchimie car il était le fils du chaman de la tribu. Il est assez minutieux dans ses préparations et légèrement maniaque par rapport à certaines choses : tout à une place et une SEULE dans la cuisine, les réserves doivent être revérifiées et complétées dès qu'il a du temps libre...
Capacités et inconvénients :
Descendant lointain du très puissant Ignir, le tout premier dragon affilié au feu, Rey est donc un drakonien ayant un souffle ardent. Comme tout drakéide, sa peau écailleuse lui permet de résister à presque toute agression extérieure. De plus, il maîtrise totalement le draconique, le « parl », l'elfique, le runique et quelques autres langages appartenant à des tribus itinérantes et possède quelques rudiments dans d'autres langues parlées dans le monde. Ceci s'explique par le fait que chaque peuple à ses propres recettes écrites, quelles soient culinaires ou alchimiques, et qu'il a dû les déchiffrer pour augmenter ses connaissances.

.:: Histoires et Péripéties ::.

- L'histoire personnelle :
Comment et pourquoi votre perso échoue à Shéwa, ce qu'il faisait avant, ce qu'il pense entreprendre etc.

Natif des Terres Volcaniques, je suis le premier fils du chaman de la tribu semi-sédentaire des « Pandragon ». Premier fils puisque j'ai un frère « jumeau » nommé Khor. De caractère assez semblable, nous représentons l'ombre et la lumière lorsque nous sommes côte à côte. Si cela ne vous gène pas, et même si cela vous gène en fait, je vais d'abord recentrer le sujet sur ma petite personne.... Oui je sais, je suis égocentrique.

De par mon statut, je fus à la fois craint et admiré par les autres enfants de mon âge. Par conséquent, je n'ai jamais eu d'amis à qui confier mes espoirs, mes coups de gueule, mes peurs, mes tristesses. Je sais ce que vous allez me dire, je suis chaman après tout : « Si tu voulais des amis, tu n'avais qu'à faire en sorte qu'ils deviennent les tiens ! Regarde ton frère, lui il a franchi cette ligne ! ». Certes mon frère a réussi à en faire ses amis, cependant lorsque moi j'essayai de me joindre à eux, notre père avait systématiquement besoin de moi. Je passais donc la plus grande partie de mon temps en sa compagnie pour l'aider à préparer potions et rituels tribaux.

Je n'ai compris que bien plus tard son comportement et j'ai amèrement regretté tout ce que j'ai pu lui dire à cette époque. Il faut comprendre le jeune drakonien que j'étais. Mon frère s'amusait avec les autres, tandis que j'étais cloitré dans notre hutte avec notre père. Quel gamin n'en voudrait pas à son père dans ces conditions ? Je vous le demande.

Au moins, ce traitement a eut le mérite de me passionner pour l'alchimie. J'appris avidement tout ce que notre père pouvait m'enseigner contrairement à mon frère. Je voyais très bien que Khor préférait être avec ses amis plutôt que d'apprendre ce que notre père devait nous léguer pour que l'on puisse reprendre le flambeau à sa mort. Et c'est lors de notre 6eme printemps que Khor fit comprendre à mon père que cela ne l'intéressait pas de devenir chaman.

Une dispute éclata entre eux alors que j'étais parti chercher autour du camp chercher quelques plantes. Je n'ai jamais sut le contenu exacte de leur dispute, mais alors que je rentrais les bras chargé, j'entendis mon père murmuré après le départ de mon frère : « Que feras-tu lorsque ton frère ne sera plus parmi nous ?.... Ô Ignir, qu'ai-je fait pour subir un destin si cruel ! L'un de mes fils renie mon savoir et l'autre est destiné à me quitter. »

Vous imaginez l'effet que ça peut avoir sur un gamin de 6 ans qui a appris peu avant que sa mère était morte à cause de sa naissance et de celle de son jumeau. Bah voilà, c'est un peu l'état dans lequel j'étais... J'ai lâché tout ce que je transportais et j'ai filé hors du camp à toutes jambes. Et ce fut la première fois que je pris conscience du lien qui nous unissait mon frère et moi. Mon désarroi venait d'ouvrir le scellé qui maintenait bloqué notre lien : la jalousie. Je sentis soudain toute la colère de mon frère affluer en moi et se mélanger à mes propres sentiments. Et au vu de la vitesse à laquelle sa colère se transformait en peur, j'ai compris que lui aussi devait ressentir ce phénomène.

Depuis ce jour, nous avons été aussi liés que peuvent l'être des jumeaux, voir même plus que des jumeaux normaux je dirais. En effet, peu de temps après, nous avons vécu notre premier rêve « prémonitoire ». Cette vision n'était pas très claire et lorsque nous en avons parlé à notre père, même lui n'a su vraiment dire de quoi il retournait exactement. J'ai bien dit premier rêve, car nous eûmes une longue série durant les 10 années qui suivirent. Rêves traitant du futur d'une manière détournée ou nous faisant revivre des évènements passés comme la dispute entre notre père et Khor ou plus lointaines comme les origines de la tribu.

Cependant, un rêve nous semblait récurrent bien que la scène qui s'y déroulait, changait d'angle de vue. Comme si les yeux qui nous permettaient de visualiser la scène, différaient à chaque nouveau rêve. De plus ce rêve était très clair. Mon frère est moi-même nous tenions sur une estrade en compagnie des autres jeunes de notre âge. Nous semblions avoir 16 ans car la cérémonie qui se déroulait autour de nous ressemblait trait pour trait à celle de passage à l'âge adulte. Tout se passe normalement jusqu'à mon tour. Et là, c'est la révolte. Ce qui se passe à ce moment n'est pas clair car c'est le seul point du rêves qui varie. Cependant, la fin est toujours la même : mon frère et moi sommes étendus sur le tapis de cérémonie gorgé de notre sang.

Nous savions pertinemment que nous partagions ce rêve à chaque fois. Même s'il n'était pas tout à fait clair sur le comment, nous savions l'un comme l'autre que nous allions mourir le jour de la cérémonie. Nous avions décidé d'un commun accord de ne pas évoquer ce rêve devant notre père, histoire de ne pas l'accabler plus qu'il ne l'était déjà. C'est pour cela que j'aidais mon frère dans son apprentissage chamanique afin qu'il réduise le retard qu'il possédait par rapport à moi.

Dix ans furent ainsi écoulés, m'amenant à mon 16eme printemps. Alors que l'effervescence de la tribu battait son plein, notre père s'attristait de plus en plus. Notre vision nous harcelait encore et semblait de plus en plus fréquente au point que nous refusions de dormir. Jusqu'au soir de nos 16 ans. C'est cette nuit là que notre... non plutôt Ma vie à basculer.

Le rêve que nous avons fait cette nuit là n'avait rien à voir avec les précédents. Ce fut le premier rêve prémonitoire que nous avons vécu chacun de notre côté. Chacun de nous à vu son futur par fragment. Je me suis vu sur une colline, jetant un regard triste vers le camp alors que le soleil se levait... Une bannière flottant de le vent avec bruit de bataille en fond... Un chemin grimpant une colline avec une bâtisse à son sommet, baignée dans la chaleureuse lumière d'un soleil en déclin.... Un panneau à côté du chemin avec quelque chose d'écrit dessus.... Mais avant que j'eus le temps de lire l'inscription, je me suis réveillé.

Lorsque j'eus parlé à Khor le lendemain, il fut aussi surpris que moi du fait que nous n'ayons pas partagé cette vision. Dans son rêve, il s'était vu au milieu du camp au petit jour, fixant la colline qui le surplombait à l'est. Puis il s'était vu évoluait au sein de la tribu après avoir survécu à la cérémonie de passage. « Rien de bien palpitant, comparé à toi... », m'avait-il sorti. Je compris cependant à ce moment là, une chose cruciale qui manquait à mon rêve : le moment de mon départ. Et à l'écoute de mon frère, je découvris que mon départ avait lieu avant la cérémonie qui devait nous être fatale. Ce qui me laissait peu de temps devant moi pour faire mes préparatifs.... Étant donné que cette dernière avait lieu dans deux jours.

Le plus discrètement possible pour ne pas attirer l'attention sur moi, je prépara un sac avec le minimum pour survivre que je ne pourrais pas me procurer hors du camp et le soir venu, je fis mes adieux à mon frère. Il était maintenant le seul et unique fils du chaman de la tribu. Puis je grimpa la colline à l'est et jeta un dernier regard sur le camp au centre duquel se tenait mon frère d'ébène, doucement éclairé par un soleil en éveil.

Je parcourus les Terres Volcaniques assez rapidement et sans encombre en sillonnant le ciel. Je finis par arriver à la frontière et découvris une ville à flanc de montagne. En approchant, je remarqua une compagnie armée, installée pas loin des portes. Une fois en ville, j'essayais de me renseigner sur cette compagnie dont la bannière ressemblait à celle de mon rêve. J'appris que c'était une troupe de mercenaires en pleine campagne militaire pour le compte d'une ville plus au nord. Elle s'était arrêtée à proximité de la ville pour se reposer et recruter de nouveaux membres. Convaincu que cette bannière était un signe du destin, je me fis donc enrôler en tant qu'herboriste et cuisinier.

Pendant six longues années, j'ai été membre de cette compagnie nommé les « Dragons Cendrés ». J'ai participé à plusieurs campagnes et ai été formé à devenir un combattant. Mes armes de prédilections furent le Naginata et le Katana, des armes exotiques découvertes au cours d'une des campagnes auxquelles j'ai participé. Cependant, mes armes favorites restaient les couteaux de cuisines et les résultats de mes expériences alchimiques.

Les campagnes menées par les « Dragons Cendrés » m'emmenèrent loin des Terres Volcaniques qui me virent naître. Malgré, l'omniprésence du danger durant ces campagnes, je n'eus de cesse de penser à ma tribu, bien que celle-ci ne m'avait jamais vraiment apprécié. Je pouvais sentir au plus profond de moi que le lien qui m'unissait à mon frère était toujours présent et que si un jour ce lien disparaissait, l'un de nous aurait quitté ce monde pour un meilleur.

Fatigué de ces batailles continuelles, je quittai les « Dragons Cendrés » pour aller m'installer dans un endroit paisible où mes talents de cuisinier et de chaman seraient utiles. Je pris donc la direction du Nord et voyageai durant près d'un an. Et c'est alors qu'un soir comme les autres, je finis par trouver ce que je cherchais depuis si longtemps.

Je reconnu immédiatement la bâtisse au sommet de la colline qui se dressait devant moi. Le chemin m'était également familier, tout autant que la pancarte se trouvant sur le côté à dire vrai. Le destin venait encore de me sauter aux yeux. Et c'est avec un sourire triste que j'empruntai le sentier, me souvenant de la frustration que j'eus à l'époque de n'avoir pu lire l'inscription sur le panneau. Je m'approchai donc de cette dernière et pris le temps de déchiffrer.

« Bienvenue à Shéwa, la Taverne du Crazy Dog ! »

Persuadé que mon futur se trouvait entre ces murs, j'ouvris la porte massive en bois de hêtre, bien déterminé à ne pas ressortir de si-tôt…

- Bonsoir !

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ENFIN!

ELLE EST FINIE!

On peut dire que tu nous as fait attendre sur ce coup.
Pour moi c'est donc ok

Que dire ce cette oeuvre ?

Hé bien je pourrais dire par exemple que c'est pas trop mal...

Quoi t'es pas d'accord ? bon ok c'est très bien ^^ j'ai beaucoup aimer

Donc pour moi c'est un gros oui ^^

Que dire à part ok ? .... Baaah ok xD
Très bonne fiche Rey, rien à dire ^^ Tu en as mis du temps mais au moins c'est de qualité Wink