ShéWa, Taverne du Crazy Dog
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ShéWa, Taverne du Crazy Dog

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 Ra'Zhid, Patte de Velours

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MessageSujet: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeVen 18 Fév - 22:35

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...............................
...............................
Ra'Zhid


.:: Informations sur la Race ::.


- L'espèce et la race de votre perso : "homme-félin" ou communément appelé Khajiit

  • Descriptif : Qui a dit que les elfes sont les seuls enfants de la Nature ? La race qui se rapproche le plus sans conteste de Dame Nature, mère de toute vie, est sans aucun doute les Khajiit. D’apparence humanoïde, les traits caractéristiques dépendent du félin de base. Cela peut aller du lion, à tigre, panthère des neiges, … Leurs fourrures sont donc spécifique à chaque félin, le lion possédera sa crinière tandis que le léopard des neiges aura sa robe tachetée. Par contre, tous les félins disposent d’un museau, comportant des vibrisses ou dit simplement moustaches. Leurs yeux peuvent avoir différente teinte de couleur bien que ce soit la couleur fauve qui prédomine, celle caramel.

    Animaux sauvage dont la Nature leur a conféré l’intelligence, ce peuple la peut donc vivre dans tout habitat possible, en ville, en forêt, … Bien que, après plusieurs générations, on trouve très peu de Khajiit nomade, préférant émigrer en ville par soucis de confort. Les Khajiit peuvent vivre en cohabitions avec certaines races, bien que cela peut parfois dégénérer au vu des tempéraments et caractères de cette race. Suivant leurs instincts et émotions, ils sont parfois excités par l’odeur du sang ou bien de divers herbes et drogues, causant parfois des rixes et batailles en ville. Après tout, il ne faut pas oublier qu’à la base, ce sont des animaux, dont certains sont les plus grands prédateurs connus. Ils ne disposent pas de force surhumaine, ils ont seulement des sens aiguisés, et cette capacité à voire dans la nuit, ainsi que leurs reflexes et agilités accrues. Ils sont donc souvent comparés aux humains, car ils possèdent bon nombre de similitude tant comportemental qu’idéologique. Accès à toutes les classes et métier possibles, les Khajiit ne s’en spécialisent que d’en une, ayant une longévité comme les humains, autant être maitre dans un seul domaine.


  • Capacités : Les Khajiit peuvent donc voir dans la nuit, du moment qu’il y a quand même une petite source de lumière (lueur des étoiles, d’une bougie, …). Ils disposent d’une grande agilité et ont d’excellents réflexes. Ils savent parler et suivent leurs instincts d’animaux, pressentant parfois le danger à l’avance.

  • Inconvénients : Prompt aux débordements d’émotions et sentiments, ils peuvent souvent agir avant de réfléchir. Excité par le sang, certains peuvent devenir de vraies machines à tuer. Quand aux vices, les Khajiits ont un certains penchant naturels pour alcool, herbes et drogues, et sitôt tombé dedans, ils abandonnent rarement leurs habitudes. Accoutumés aux villes, ils gardent quand même une certaine peur du feu.


.:: Informations Générales ::.


- Les caractéristiques de votre perso :
  • Descriptif :
    La nuit, moment propice et unique de se délecter de la vision des astres blanches et des étoiles. C’est aussi le moment pour profiter de la faible luminosité afin de sortir en toute discrétion. Un claquement de porte, une torche qui s’éteint, un silence plat dans les rues de Balmora. Une silhouette estompée par la faible luminosité sort de chez lui. Une ombre se faufile sur le mur d’en face, d’un pas souple et léger, un homme encapuchonné s’engage dans une ruelle, l’air calme et serein. Passant devant deux mendiants, notre ombre furtif ne s’en soucie guère, tandis que les deux pauvres hommes le détaillaient du pied de la tête. D’une taille avoisinant les 1m80, il ne semble pas bien gros pour sa taille, ni bien musclé bien que cela soit difficile à voir sous ses habits. Portant une unique épaulière en cuir marron à capuche, dans un style moyenâgeux, disposait sur l’épaule gauche, cela ne le gêne pas pour se déplacer. Il peut d’ailleurs disposer une cape sur l’épaulière, une attache étant faite exprès pour cela, il a d’ailleurs mis une cape noire avec un motif en or. Il porte des protections aux avants bras, fait d’en un alliage souple de fer et d’acier, aux ornements décoratifs et dont un blason se trouve au centre de la protection, tandis qu’à sa taille se trouve une grande ceinture noire, comportant de nombreuses petites sacoches et bourses ainsi qu’une gaine à couteau. Une dague est placée entre sa chemise de soie et sa ceinture, et une épée courte scinde sa taille, entreposée dans son fourreau. Un plastron résistant recouvre son torse, bien qu’il soit à peine visible sous ses vêtements raffinés en soie ou autre matériau doux. Des jambières faites du même alliage que ses protections aux avants bras recouvrent ses jambes, allant jusqu’à ses longues bottes en cuir noir et recouvrant même la partie supérieur, faisant croire qu’il peut porter un pantalon. Le tout est fait dans un ouvrage d’expert, surtout lorsqu’on a la chance, ou la malchance de voir ses armes. La dague est sertie de gemmes et de rubis en tout genre, et dans son pommeau se trouve un grenat incrusté, brillant d’une bien étrange lueur. Son épée courte est plus fine que le modèle standard, couleur argent, le pommeau se distingue du reste au vu de sa couleur blanche, comme la lune, dont la forme semble avoir été exclusivement faite à la main de l’inconnu, pour faciliter le maniement de l’arme lors des combats. La lueur fugace d’une torche permet aux deux mendiants de voir le visage de ce sombre inconnu, et ils reconnaissent bien vite la race de l’homme qui est en train de passer.

    Un Khajiit, de la race des lions, il dispose comme ses compères d’un museau avec moustache, son pelage était de la couleur du soleil, teinté d’ocre jaune et d’orange-vif hormis le bas de son menton, ayant des poils blancs donnant l’impression d’un duvet doux et soyeux. Il possède une crinière peu volumineuse comparé aux autres lions, de la couleur rousse. Ses yeux ont la couleur prédominant de sa race, couleur fauve avec la pupille noire. Ce qui semble être une tache de naissance orne son front, d’une couleur noir, avec une forme non définissable. Allure avenant, notre Khajiit semble prend soin de son apparence, bien que cela n’incite pas les deux mendiants à l’apostropher pour quémander un peu d’or. Avec une silhouette comme celle-ci, surtout avec de tel habit, on pouvait deviner aisément ce que notre compère faisait comme métier, un métier un peu douteux comme peut le dire la populace. Surtout que notre ami Khajiit jouissait d’une certaine réputation dans ses bas quartiers, on pouvait souvent le voir en journée, vêtu d’autres vêtements plus conventionnel pour se déplacer, bien que c’était toujours dans un ouvrage de qualité et de raffinement, montrant une certaine excentricité du Khajiit. Il est toujours bien accompagné aussi, de charmantes demoiselles dans la fine fleur de l’âge. Ses habits sont donc divers et variés, allant presque de toute les couleurs, il se laisse parfois aller à certains accessoires comme les bagues et collier, bien que c’est toujours selon son humeur actuelle. Pour ceux ou celles qui ont eux le plaisir de partager sa couche, ils ont pu remarquer que notre Khajiit comportait de nombreuses cicatrices un peu partout sur le corps, et principalement dans le dos, et au vu des marques, cela a été fait par un fouet. Une trace se trouve sur son poignet, du à un bracelet tellement serré qui a marqué à vie son passage sur sa peau. Ses muscles sont à peine prononcés, hormis pour son ventre ou l’on peut voir ses pectoraux, sa crinière est effectivement peu volumineux, notre ami Khajiit la coupé pour des raisons pratiques, car bien qu’il dit que cela met plus en avant son visage, c’est surtout pour pouvoir mettre une capuche lors de ses ‘petits boulots nocturnes’.

    Passant donc devant les deux mendiants, l’ombre continua son chemin, sortant de la ruelle, il se dirigea vers une grande bâtisse et d’un mouvement ample, sauta sur le mur, prenant appuie pour atteindre la corniche en hauteur. Ce geste semblait avoir été répété tant de fois au cours de sa vie, et c’est avec aisance que d’un seul bras, il se tira en haut tandis que l’autre bras allait déjà attraper la prochaine prise. Montant sur le balcon, une porte était entrouverte et de l’agitation était audible depuis le balcon. Le Khajiit rentra donc dans sa taverne favorite.



  • Caractère :

    - Il est plutôt mignon le Khajiit là-bas.

    Abaji montra d’un signe de tête un Khajiit qui se trouvait au comptoir, allant commander sa boisson. Son amie, Yushi jeta un coup d’œil avant d’afficher un sourire narquois.

    - Fais attention à toi, c’est Ra’Zhid, il est plutôt connu par ici, il vient chaque soir, ou presque. Il a un certains penchant pour l’alcool et les jeux de cartes et autres, mais c’est aussi un charmeur invétéré. Ses amis l’ont surnommé Patte de Velours …

    Poussant un bien étrange soupir, Yushi se laissa aller à la rêverie, tandis que son amie l’interrogeait du regard, pour finalement lui donner un petit coup sur l’épaule afin que Yushi continue son explication. Gloussant de rire, Yushi reprit la parole ensuite :

    - Son surnom est du à son métier, on raconte que presque aucune serrure ne peut lui résister et qu’il peut entrer n’ importe où, tel le vent. Une ombre silencieuse dont les autorités n’ont toujours pas réussi à lui mettre le grappin dessus. Bien que c’est aussi une boutade de ses amis de l’avoir surnommé ainsi, au vu de ses nombreuses conquêtes.

    - Il est célibataire donc ?

    - Oui, et je pense que ce n’est pas le genre de lion à rechercher une relation durable. Il est étrange, mystérieux en faite, je sais peu de chose sur lui, il trouve toujours le moyen de détourner le sujet lorsqu’on veut en apprendre plus sur lui.

    - Tu sembles l’avoir connu, c’est le cas ?

    Si Yushi ne possédait pas de poil, on aurait tous pu voir qu’elle était devenue rouge comme une tomate à cet instant, suite à cette discutions et au fait de se rappeler de certaines nuits.

    Un argonien s’approcha de notre ami le lion, accompagné d’un autre Khajiit, une panthère noir. Se levant, Ra’Zhid les accueillit par une franche accolade. L'argonien prit ensuite la parole :


    - Voila notre ami patte de velours, quel bon vent t’emmène ici ?

    - Le travail et le plaisir personnel, comme tu sais, j’adore joindre l’utile à l’agréable.

    Son compagnon lui offrit une bonne tape dans le dos, tandis que Ra’Zhid prenait place afin de recevoir sa consommation. Le tavernier lui apporta un verre, et tout en posant le verre, posa discrètement un petit sachet contenant de la poudre blanche avec. D’un mouvement rapide, Ra’Zhid prit le sachet, le plaçant dans la manche de sa chemise et prit aussitôt son verre pour en boire une lampée. Ses compagnons avaient naturellement vu l’action mais n’en firent rien. Quand aux autres clients, il était difficile de voir cela si on ne regardait pas précisément ce que faisait le Khajiit, surtout qu’ils étaient occupés à boire ou bien de jouer à différents jeux.

    - Épargne-moi tes belles tournures de phrases, tu peux bien les sortir aux marchands ou femmes si cela t’intéresse.

    - Cela fait combien de temps que l’on se connait mon bon ami ?

    C’était le Khajiit qui venait de parler, Ra’ lui se préoccupait plus de son verre, faisant un léger mouvement de poignet pour mélanger un peu l’alcool qu’il y avait dedans, un peu perdu dans ses pensées. Un sourire étira ses babines tandis qu’il tournait la tête pour regarder son interlocuteur.

    - 15 longues années si ce n’est plus mon vieil ami

    - Et bien, nous devrions fêter cela, une partie de carte ?

    Tout prétexte était bon pour boire, surtout entre Khajiit. Amusé par cette perspective, Ra’Zhid se leva et alla suivre ses compagnons pour se poser à une table, afin de jouer aux cartes. L’argonien battait les cartes, tandis que son ami prenait commande auprès d’une serveuse pour les consommations, puis il commença la discussion tandis que l’argonien distribuait les cartes.

    - Alors, en mission pour la guilde ?

    - Comme tu peux t’en douter, je suis ici uniquement à titre personnel

    - Je ne comprends pas ton manque d’ambition, avec ton talent, tu pourrais avoir un haut poste au sein de la guilde mais tu n’en fais rien, refusant les promotions données, n’as-tu donc pas envie d’avoir plus de reconnaissance ?

    - Un nouveau poste entrainerait de nouvelle responsabilité, tu sais aussi bien que moi que je n’aimerais cela, j’ai déjà bien à faire avec mon temps, alors de la à accomplir plus de boulots … Surtout qu’il faudrait généralement quitter la ville pour cela, chose que je refuse.

    - Pour ton père hein ? Il va bien ?

    - Toujours aussi frais qu’un nouveau Drake !

    La discussion reprit un fil plus normal, entre dernières rumeurs et blagues à raconter. Jusqu’à ce qu’un combat commence dans la taverne, une chaise vola au dessus de la tête de nos trois joueurs de cartes et on entendait des injures à tout va. Un elfe noir ayant un peu trop bu venait d’accuser un autre de tricher aux cartes, et demander à récupérer sa mise. Bien naturellement, le gagnant légitime n’allait pas perdre ainsi sa fortune de ce soir aussi facilement.

    - On intervient ?

    - Non, cela ne nous concerne pas, et j’ai un Fradzi

    Abatant ses cartes sur la table, ses deux compagnons regardèrent si effectivement c’était le cas et lâchèrent leurs cartes, d’un air dépité. Le gardien de la taverne avait rapidement fait son rôle en maitrisant l’importun elfe noir, le virant dehors à grand coup de pied. Stoïque quelque soit la situation, ce petit groupe hétéroclite prenait du bon temps tout en se remémorant de vieux souvenirs, jusqu’à ce que Yushi et Abaji vinrent finalement à leur table. Après de rapide salutation, elles s’assirent à leurs tours, auprès des deux Khajiit déjà présent. Cela n’était pas difficile de comprendre ce qu’elles voulaient pour ce soir la, Ra’ passa son bras autour de Abaji, passant sa main sur la joue de la nouvelle venue.

    - Alors ma jolie, tu sembles nouvelle en ville, d’où est-ce que tu viens ?

    - Je viens de Vivec, du quartier marchand

    - Cela a du être un long voyage, qu’est-ce qui t’amène à Balmora ?

    - Je veux monter mon propre commerce, et c’est difficile dans une ville aussi prospère que Vivec, bien que mon père avait sa propre enseigne, je voulais aussi voler de mes propres ailes.

    - En voila une fille bien courageuse

    Buvant un coup, les quelques heures suivantes furent agréable, dans une euphorie générale du à l’ambiance naturelle de la taverne, et aussi un peu dû grâce à l’aide de l’alcool. Nos trois compagnons avaient arrêté de jouer aux cartes pour s’intéresser aux deux nouvelles venues, pensant que la soirée se terminait dans de bonne circonstance. Sauf qu’un imprévu est si vite arrivé, un peu perturbée par l’alcool, Abaji posa une question à Ra’Zhid.

    - Et toi mon mignon, quelle est ta région natale ?

    L’expression du visage du lion s’assombrit, l’air plus grave, il reposa lentement son verre, le regard perdu dans le vide. Un énorme bruit de fracas tourna les têtes, quelqu’un venait de tomber sur la table et l’avait renversé, tombant au sol. Ra’Zhid en profita pour se lever, laissant quelques couronnes sur la table.

    - L’heure passe et je dois y aller, faîtes de beau rêve

    D’un signe de main, il partit sans attendre de réponse des personnes présentes à l’attablée. Main dans les poches, il quitta la taverne, se dirigeant surement chez lui.

    J’ai dit quelque chose qui ne fallait pas ?

    - Ne lui en voulait pas, il déteste parler de son enfance.


  • Capacités et inconvénients :
    - Comme les gens de sa race, il dispose de l'infravision et d'une agilité et dextérité plus haute que la moyenne
    - Voleur confirmé, il possède son matériel de voleur. Bretteur confirmé, il ne peut cependant pas rivaliser avec un guerrier pur souche mais sait se défendre.

    - A un penchant pour le sucre de lune, une drogue, ainsi que l'alcool et les jeux de hasard.
    - Peut facilement être hors de lui à l'odeur du sang, bien que cela dépend de la situation.


.:: Histoires et Péripéties ::.


- L'histoire personnelle :
Sur la deuxième page, merci donc de ne pas poster !

::.


Dernière édition par Ra'Zhid Patte de Velours le Sam 19 Fév - 22:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeSam 19 Fév - 22:24

.:: Histoires et Péripéties ::.


- L'histoire personnelle :

La porte s’ouvrit, donnant sur un petit vestibule bien rangé et propre. Retirant du superflue, je me mis à l’aise en enlevant ma chemise et le haut, restant seulement en pantalon. J’entrai dans le salon, allumant la lampe à pétrole et m’assis, toujours la mine grave. J’avais bu certes, mais je n’étais pas allé au delà de mes limites, bien que cela ne m’ait aidé en cette soirée. Aussitôt qu’Abaji avait posé la question, des souvenirs affluaient dans ma tête, en rappel à mon enfance. Et sur tout le chemin du retour, je n’avais pu me défaire de ses images, me rappelant qui j’étais.

Poussant un soupir, je posai mes pieds sur la table basse, et sentant qu’ils étaient en contact avec une bien étrange texture, je regardai de plus près sur quoi j’avais posé mes pieds. Un livre, fruit d’un larcin sur un touriste venu en ville, qui avait eu la malchance d’être passé trop près de moi. Peut être qu’en lisant, je ferais partir ce mal-être. Je n’avais pas encore lu le bouquin, et m’attardai donc sur la couverture du livre. Morrowind, tout savoir sur Vvardenfell. Un livre sur l’île ! Et bien pourquoi pas, ouvrant la première page, j’entrepris la lecture du bouquin, en espérant chasser les images en tête.


Bienvenu en Morrowind, terre ancestrale des Dwemers, ces terres regorgent d’histoires et de spectacle unique en leur genre. Ce continent comprend le continent principal, dont des archipels et une île nommée Vvardenfell. Pour commencer, vous avez pu déjà apercevoir à l’arriver sur l’île de Vvarfendell un volcan, appelé par le peuple local le Mont Ecarlate. Il s'élève au centre de l'île. Par temps exceptionnellement clair, il est même possible d'en distinguer le sommet depuis Almalexia (capital de Morrowind), 250 miles plus au Sud (le continent principal).
A l'époque lointaine de la conquête par les Nordiques, au nord de Morrowind florissait une brillante civilisation, les Dwemers, dont le prestige de la capitale, Vvardenfell, rayonnait par tout le continent.

Il n'est actuellement pas possible de savoir si c'est la Grande Éruption du volcan qui détruisit intégralement cette civilisation, si les Dwemers s'étaient déjà lentement éteints, suivant en cela le destin de ceux de leur race qui avaient déjà disparu en Tamriel, ou enfin s'ils ont été exterminés par des ennemis inconnus. Quoi qu'il en soit, le volcan est depuis lors en permanente activité, dévastant régulièrement le pays par ses éruptions, et répandant à sa surface ses pluies de cendres.

Cette contrée fut jadis une partie de l'ancien Empire des Nordiques, mais elle est maintenant peuplée d'Elfes Noirs, et le moins que l'on puisse dire est qu'elle peut paraître étrange au voyageur. Les Elfes y chevauchent des insectes géants, et des esclaves sont utilisés en grand nombre aux tâches les plus diverses.


Je fermai la page suite à la dernière ligne, ayant lu un mot trop évocateur de mon enfance, faisant ressurgir de bien vieille blessure. Mais bien décider à ne pas plier sous le poids du passé, je continuai donc ma lecture, sautant la page déplaisante, ne lisant maintenant plus qu’en diagonale, afin de limiter ma rencontre avec des mots fâcheux. Je lus donc de nombreuses choses sur les races, sur l’origine de la disparition des Dwemers et de l’apparition de leurs cousins, les Elfes noirs. Presque chaque race vivant sur ce continent y était décrit, les clans, les méthodes de vie, la politique et la religion. Je tombai enfin sur les Khajiit, apprenant leurs évolutions au fil des générations, bien que je le sache déjà. A cette époque, les Khajiit vivaient en clan en fonction du félin, il n’y avait pas de mélange de peuple, les léopards restaient avec les léopards, les lions avec les lions, … Jusqu’à la tragédie de Dagoth-Ur ou suite à l’arrogance des elfes noirs, une bonne partie de la population Khajiit avait fini en esclavage … Refermant le livre d’un coup sec, je le jeta négligemment sur la table, me levant pour aller m’adosser contre le rebord de ma fenêtre, observant le paysage en dehors. Il faisait toujours nuit et une légère pluie commençait à marteler le verre. Poussant un soupir, résigné par la fatalité, je savais que je ne fermerais pas l’œil en cette soirée, pas tant que j’aurais fait face à mon passé. Je m’étais souvenu de trop de chose, bien que depuis le temps, certains détails étaient devenus flous, n’ayant apprécié d’être ressorti à la grande lumière alors que cela faisait si longtemps qu’ils reposaient dans le caveau de l’oubli, endroit sombre et impénétrable. Calmement, je me dirigeai vers mon lit, ayant pris la lampe à pétrole au passage, je m’assis sur les draps soigneusement pliés, d’un tissu doux et cher. Tendant le bras vers ma petite étagère, je saisis un vieux journal à la couverture noir, ne portant aucune inscription. Le regardant, je m’assis plus confortablement sur le lit, me préparent mentalement à ce qui allait se passer et réunissant le courage nécessaire pour cet exploit. Et doucement, je tournai la première page, prêt à affronter mon passé. C’était mon journal de mémoire, ayant relaté mon enfance et ensuite certaines de mes journées. Pour ne pas oublier sans doute, je ne saurais trop dire les raisons qui m’ont poussé à écrire ce livre. Une seule phrase ornait cette première page blanche :

Les mères des oubliés pleurent encore la mémoire des disparus~

Une citation de Falor, grand philosophe de son époque, il avait permit de diminuer l’esclavage qui sévissait en Morrowind, améliorant les conditions de vie des esclaves, bien que son but final ne put être réalisé, à savoir l’abolition de cette pratique barbare. Tournant la page, je rentrai donc dans mon enfance par une page introductive. Amusé, je constatai déjà le style de l’écriture, plus souple et léger, plus libre et jeune, je l’avais écrit durant ma rentrée à l’âge adulte.

L’esclavage

Unique mot qui scella mon destin avant même que je vienne au monde. On dit qu’on n’a pas le choix de sa famille, pas le choix du lieu où l’on vivra, c’est vrai mais ce n’est pas ce qui m’a apporté cette triste vie. Non, je sais que l’on aurait pu être heureux, mes parents et moi, si l’on avait vécu dans une meilleur époque, ou la tolérance pouvait avoir sa place, comme celle de la liberté. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, la vie ne m’a pas fait de cadeau, n’ayant nul Dieu à implorer, je restai dans l’ombre de mon ignorance à pleurer silencieusement cette tragique comédie que l’on m’avait assigné de gré. Né ignorant, je ne savais rien du Monde, hormis les histoires que me raconter mon père le soir avant de dormir. Je n’avais pu imaginer un seul instant de l’immensité du Monde, qu’il pouvait y avoir des océans, des forêts et des montagnes. Je ne connaissais d’ailleurs pas le mot liberté, trouvant cela normal de servir mes maîtres, aussi cruel furent-ils. L’ignorance était la meilleur des chaines, du moins pour les nouveaux esprits, seulement mes parents connaissaient la vérité et m’éduquaient du mieux qu’ils le pouvaient, lorsque le temps le permettait et à l’abri des regards des maîtres. Ils ont toujours voulu mon bonheur, et ont offert leurs vies pour que je puisse vivre libre, j’espère qu’ils seront fiers de moi car leurs sacrifices n’aura pas été vain. A travers mon épée, ce sont leurs volontés qui sont exprimées, pourfendant maître après maître, libérant esclave sur esclave. Cela n’arrêtera en rien cette idéologie, mais j’ose espérer que cela ne brisera plus ainsi tant de vie, en espérant que les esclaves sauvés auront le droit à une nouvelle chance, que la vie leur soit désormais plus clémente, car elle l’a été pour moi, en m’accordant cette possibilité de vivre comme n’importe qui.
Ra’Zhid



Tournant la page, je tombai donc sur mes premiers souvenirs, relatant déjà mes premiers travaux domestiques, mes jeux en secret avec les autres enfants esclaves, les coups de fouets reçus en guise de punition suite à un mauvais travail ou quelconque mascarade qui permettait à mon maître de se défouler comme bon lui sembler, afin d’exulter une quelconque rage ou bien de ressentir ‘le pouvoir du tout puissant’. Les jours donc s’assemblaient et se ressemblaient, hormis à l’âge de mes cinq ans, ou j’étais enfin apte à porter le bracelet d’esclave, marqué à vie d’un statut ignoble qui avait pourtant vu le jour sur ce continent. Petit à petit, les souvenirs flous devenaient plus nets, je retrouvai d’ancienne sensation, émotion et odeurs, faisant jaillir en moi un torrent d’émotion, bien que la tristesse prime sur le tout. Les larmes perlaient donc mon visage, mais je ne fis aucun geste pour les sécher, en guise de prix pour ce fardeau si lourd que je porte depuis toujours. Les péripéties continuaient donc, jusqu’aux environs de mes 8 ans. A cette année la, une rumeur circulait chez les esclaves, comme quoi à Ebonheart , une faction s’était formée dans le but de venir en aide aux esclaves, permettant aux rescapés de recommencer une nouvelle vie. Lueur d’espoir donc pour les esclaves, qui fomentaient donc un plan d’évasion.

Je ne comprends pas, on me dit de rester avec les autres enfants, et d’écouter calmement les ordres des adultes, sans poser de question. Pourtant je vois bien qu’ils sont agités, quelque chose se passe mais quoi, aucun enfant ne le sait. On nous a juste dit qu’après cette nuit, on aurait une nouvelle vie, qu’on aurait plus à subir ce que nous fait le maître. Belle perspective, c’est donc dans une certaine liesse que nous avons fait nos maigres paquetages, attendant la suite des événements. Les heures passent et la nuit est tombée, le silence règne en maître sur la demeure. Mais un cri vint perturber tout cela, suivit d’une explosion, de grande lumière et un son horrible me font plaquer la tête dans le creux des bras de ma mère, qui tente de me réconforter. Elle me prend ensuite par la main, et avec le reste des autres enfants, on quitte nos dortoirs, guidé par d’autres esclaves. On entend au loin le bruit de l’acier contre l’acier, l’odeur du feu se répandait dans toute les pièces et des cris d’agonies résonnaient dans la nuit froide, n’ayant pour réponse que des hurlements de rage ou bien des cris criant vengeance et liberté. Aucun enfant n’osait poser de question, suivant l’allure rapide des adultes, on se dirigeait vers les embarcations de notre maître. Les adultes faisaient monter silencieusement enfants et femmes sur les barques, tout en jetant de temps à autres des coups d’œil anxieux en direction du manoir, ou des flammes à présent sortaient des fenêtres. Je m’arrêtai donc avant de monter dans une barque, serrant fermement la main de ma mère.

- Ou est papa ?

Ma mère, qui était en train de monter, s’arrêta, puis doucement se retourner, se mettant à genoux pour être à ma hauteur, elle me prit les mains et me réconforta, bien que ces yeux étaient remplis de larmes.

- Il nous rejoindra plus tard, il a encore une tâche à faire au manoir …

Elle retenait ses larmes, et je ne comprenais pas pourquoi elle pleurait. J’étais trop petit pour comprendre toute l’ampleur de cette soirée, mais bien que petit, j’avais déjà compris que je ne reverrais plus mon père, que ma mère m’avait menti pour mon bien et qu’elle souffrait tout autant de moi du choix qu’avait fait mon père.

Montant sans dire mot de plus sur la barque, il y avait deux autres esclaves avec nous. Et sous la lumières des deux lunes, nous quittâmes l’embarcadère, en direction du fleuve Odaï. Le manoir commençait seulement à devenir de plus en plus petit que des silhouettes courraient en direction des quais. Puis, tendant quelque chose vers le ciel, la petite armée tira en grand nombre des traits noirs qui partirent haut. Et au fur et à mesure de la descente, les pointes noires grossissaient, pour devenir carreaux et flèches létales. Grâce à l’ouïe fine de notre race, les adultes avaient pu entendre les flèches sifflaient dans le ciel, et ma mère se jeta aussitôt sur moi, offrant son corps comme bouclier. L’eau projeta des éclaboussures, on entendait le bruit horrible de quelque chose qui se plantait dans le bois, ou bien d’une autre matière puis le silence plat. Notre barque dériva longuement, au gré du courant, et j’étais tétanisé, serrant fermement le corps de ma mère contre moi, les yeux fermés, tombant peu à peu dans les limbes du songe.

J’ouvris les yeux sur un soleil rougeâtre, illuminant tristement la scène que je n’aurais jamais voulu voir. La barque avait fini par échouer sur une petite plage, à l’orée d’une forêt qu’on pouvait voir au loin. Doucement, je m’extirpai de sous ma mère, qui ne bougeait plus. Fébrilement, je lui remuais l’épaule, l’appelant pour qu’elle se réveille, jusqu’à ce que je voie ces pointes noires fichées dans son dos, ainsi que le halo de sang qu’il y avait autour. Je ne connaissais pas la mort, je ne l’avais jamais vu à l’œuvre, c’est seulement l’instinct qui me faisait comprendre ce qui se passait actuellement. Les larmes coulaient donc toutes seules, alors que je n’avais aucune idée précise de la situation actuelle, les deux autres esclaves n’étaient plus sur la barque, et il n’y avait pas d’empreinte sur le sable. Peu à peu, la peur m’envahit, ainsi que ce sentiment désagréable de solitude, me faisant partir en sanglot, je me réfugia donc contre le corps de ma mère, dépourvue de vie, froide et immobile, alors que j’avais en mémoire d’il y a quelques heures la chaleur de ses mains, et du sourire qu’elle me montrait pour me rassurer.

Je ne puis dire combien de temps je restais ainsi, j’avais perdu la notion du temps, je ne savais plus quoi faire, ou aller, et pourquoi le faire. Finalement, l’instinct de survie fut le plus fort, je quittai cette macabre barque, faisant mes derniers adieux à ma mère, puis me dirigea en direction de la forêt. Marcher droit devant, espérer que quelque chose se passe, n’importe quoi, un sauveteur, un monstre, un accident, faire en sorte de pouvoir survivre ou bien de mettre un terme à cet enfer. La fatigue fut la seule réponse à ces attentes, et terrassé par la faim et l’épuisement, je m’effondrai au milieu d’une clairière.

Le noir totale, quelque chose de froid et d’inquiétant, mes muscles étaient paralysées, se contractaient et me faisaient souffrir le martyr. Jusqu’à ce qu’une douce lumière chaude m’engloba, m’apaisa et me permis de me détendre. Ouvrant petit à petit les yeux, je ne vis qu’un plafond en bois, et la lueur du soleil. Tendant faiblement une main devant moi, j’ai eu cette pensée saugrenue de regretter d’être encore en vie. On agrippa ma main, et un visage inconnu rentra dans mon champ de vision, bien que pour le moment, je ne m’en soucie guère.


- Repose-toi, tu as de la fièvre et tu es encore très alité.

Les larmes furent la seule réponse que je donnais, ne voulant parler pour l’instant, je refermai les yeux pour retomber dans l’obscurité de cette existence.


Levant la tête pour faire une pause dans cette lecture, je poussai un long soupir, tentant de me calmer. Mes mains tremblaient, tenant fébrilement le livre. Aurais-je la force de continuer ? Pourtant, il le fallait, j’étais allé si loin, je ne pouvais désormais plus faire marche arrière. Jetant un coup d’œil à la fenêtre, je vis que la pluie battait son plein, tandis que l’aurore pointait le bout de son nez. Je n’étais pas spécialement fatigué, un bien drôle d’état dans lequel j’étais, ce torrent d’émotion me tenait éveillé et me dictait de continuer. Je repris donc ma lecture, voyant qui était cette personne qui avait eu la bonté d’âme de me sauver. Je lu donc mon réveil, et l’état pitoyable dans lequel j’étais, selon ce que j’avais marqué, j’étais plus mort que vif à ce moment la, les yeux mis clos, je ne bougeais plus, je ne mangeais plus, je ne parlais plus. Le traumatisme avait été trop important pour que je le surmonte, ou du moins, il me fallait le temps …

Un petit vent frais et agréable passa sur mon corps, caressant mon visage avant de s’en aller dans cette immensité qu’était le Monde. Les doux rayons du soleil réchauffaient mon corps, et je restai allongé la, ne sachant plus comment j’avais atterri dehors, qui m’y avait emmené et encore mois qui j’étais. Cet état ne pouvait durer plus longtemps hélas, et quelque chose vint me sortir de ce monde des ténèbres. Contact éphémère, puis plus soutenu, je sentais que quelque chose se tenait sur mon doigt. Baissant doucement la tête, je découvris, au fur et à mesure que mon champ de vision devenait plus net, que c’était un papillon. Ou du moins, une créature vivante que je n’avais jamais vue de si près, et aujourd’hui, elle était là, sur mon doigt. Ses grandes ailes bleues étaient magnifiques, battant au rythme de respiration de l’insecte. Doucement, je levai ma main, voulant porter vers mon visage le papillon afin de l’examiner de plus près. Mais aussitôt qu’il fut proche de moi, il prit son envol, allant rejoindre ce grand ciel bleu. Hypnotisé par ce spectacle, je le voyais partir librement, doucement au gré du vent, tandis qu’un poids quittait mon cœur à ce même moment. Les larmes coulèrent d’elles-mêmes, une main vint se poser sur mon épaule, et je tournai la tête. Je ne vis cependant pas qui s’était, le soleil était derrière la personne, son visage était sombre et ses traits méconnaissables. Sans dire mot, il m’enlaça et me frotta le dos, surement dans le but de me réconforter.

- Tu vas mieux ?

D’un hochement de tête, je lui fis comprendre que oui, ne pouvant encore parler pour le moment. Il me prit donc la main et me fit lever, pour ensuite renter dans la bâtisse. Enfin je pouvais le voir, c’était un Khajiit, de la race des tigres, il avait les yeux bleus et un visage un peu austère aux premiers abords. M’amenant vers la table, il me fit m’asseoir, et alla s’asseoir à son tour, me faisant ainsi face. Du bruit derrière moi me signala qu’il y avait quelqu’un d’autre dans la pièce mais je n’y prêtai pas attention, attendant de voir ce que mon sauveur aller dire. Et tandis que …


On frappa à ma porte, me faisant ainsi lever ma tête et quitter ma lecture intensive. Posant le livre, je me levai, et malgré ma tenue peu commune, j’allai ouvrir. Rien, personne, hormis une note sur ma porte, plantée par une dague. Retirant la dague, je pris la note et rentrai, sachant déjà qui avait fait ce coup et pourquoi. Un message de la guilde des voleurs, surement une nouvelle mission. Me posant sur le canapé, je lis la note, découvrit le lieu de mon futur larcin et les objets en question que je devais voler. Malheureusement, il fallait donc que je prépare du matériel et pour cela, je devais partir au marché … Tournant la tête vers mon lit, je regardais le livre de mon enfance, et du me résoudre à remettre la lecture pour plus tard. Je pris ma chemise, faisant tomber un petit sachet blanc. Me baissant pour le ramasser, je me souvins, trop tard sans doute, de son contenue, et de l’utilisation que j’aurais pu en faire quelques heures avant, ce qui m’aurait sans doute permis de trouver le sommeil. Trop tard maintenant, le mettant dans ma poche, je sortis de chez moi.

Après la demi-journée, je fus de retour, un sac sur l’épaule. Allant en cuisine, je me préparai un petit plat rapidement, afin d’être à l’heure pour mon travail. M’habillant ensuite avec mes habits de travail, je préparai mon sac. Sonde, nécessaire de crochetage, potion, poison, grappin, corde et compagnie. Tout y était pour le travail de ce soir, mais bizarrement, il manquait quelque chose, ou plutôt que quelque chose ne tournait pas rond. Ce malaise de n’avoir pu terminer ma lecture me taraudait depuis mon départ au marché, et je savais pertinemment que je pourrais le lire ce soir, ne pas effectuer un travail de la guilde sans une bonne raison signifiait clairement de signer son arrêt de mort. Aussi pris-je donc le livre de mon enfance, le mettant dans mon sac bien que je sus qu’il ne me saura d’aucun secours pour la mission de ce soir. Je partis donc, m’enfonçant dans les ombres de la nuit.


Lien de la fin de mon histoire =>

Lien pour annoncer mon arrivé sur Shewa =>

::.


Voila, terminé, j'espère que mon style ne vous dépaysera pas trop, en espérant que cela marche *croise les doigts*
Je suis ouverte à toutes critiques, négative que positive, du moment que c'est constructif


Dernière édition par Ra'Zhid Patte de Velours le Dim 20 Fév - 20:56, édité 1 fois
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Asalte Warlaf

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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeDim 20 Fév - 12:08

bien bien bien, on y va:

Primo: TROP LONG! >.<
Les deux derniers paragraphes manquent d'aération! beaucoup trop monobloque à lire. Pense aux miros qui doivent se taper la lecture entière de ta fiche en une seule fois s'il te plait, et prends les un peu en pitié u_u"

Deuzio: Dans ton histoire perso, le passage sur sa mission de cambriolage est un peu décalé ici et aurait pu faire office de rp.
il n'y a pas mention de Shéwa non plus... il faudrait au moins l'évoquer pour justifier le passage de ton perso dans cette taverne.
J'imagine que la maison aperçu en fin de fiche y fait référence? D'ailleurs, comment ton perso échoue à l'air libre alors qu'il était enfermé dans une grotte avec des mages é_e

Tercio: le descriptif perso et de caractère est original mais, pour le caractère, manque de bièveté.

Quatro: un perso voleur à la assassin's creed au lourd passif... bon ok pourquoi pas. un peu convenu mais il reste assez "déparvé" pour être crédible.

Au final: il m'a fallu un sacré temps pour lire ta fiche mais elle est bien. L'écriture est fluide et sans fautes, ce qui facilite grandement la lecture et évite de la rendre insupportable.
Pour moi, tu es validable!
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeDim 20 Fév - 12:48

Je peux encore modifier, car il faut dire que la fin de l'histoire, je l'ai tapé tard, mais j'oublie toujours d'aérer mon texte. Je l'ai fait au début, mais après, pris dans la frénésie de l'écriture, je suis parti tête baissée ><

Alors oui, malheureusement, j'ai déjà eu l'idée en tête du personnage et du comment de sa présentation en voyant le forum, et lorsque j'ai une idée en tête, j'ai du mal à m'en débarrasser X)

Donc oui, ma fiche personnage est en gros présenté comme du RP tout le long, des actions en cours avec des dialogues, je voulais rendre vivant le personnage, en changeant de point de vue pour chaque partie et surtout ne dévoiler que quelques bribes de sa personnalité sans qu'on sache tout de A à Z.

Je ne comprends pas ce terme : "déparvé". Pourrais tu me l'expliquer plus en détail ?
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeDim 20 Fév - 13:17

Ta façon de faire est originale et interessante, c'est très bien comme ça. Je pense juste que les deux derniers paragraphes sont de trop dans une fiche perso.
Aere les un peu de toute façon.
Tu as le choix: ou tu les laisse ici (mais ça dissuadera surement d'éventuelles membres de lire ta fiche vu la longueur)
ou tu les enlèves et les intégre tout de suite dans un rp après ta validation.

Enfin pour le déparvé, j'ai tapé trop vite... c'est juste "dépravé", dans le sens "corrumpu" "ayant perdu tout sens moral" ou encore "libertin".

Voilà
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeDim 20 Fév - 15:26

Ah oui, il n'a pas vraiment d'éthique, mais je ferais en sorte à ce que cela ne soit trop retranscrit dans le RP.

En faite, la fin de l'histoire explique juste l'arrivé à Shewa, le rituel a mal tourné et l'explosion (? si c'en est une) l'a envoyé sur le monde actuel ou se trouve l'auberge. Je comptais en faite jouer son arrivé à l'auberge.

Pour la modification, je verrais ce soir ou courant semaine, tout dépend si j'ai terminé mes travaux
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeJeu 24 Fév - 23:36

Bon bon bon. J'ai enfin finis ta fiche et je dois dire que c'est long a lire.

Donc moi je ne dirais rien de plus que Asalte. sauf p-e une chose. Il y a de la mise en page, de la couleur ( c'est bien ça la couleur ) donc rien que pour ça tu as mon accord de validation.

Avis positif de l'elfe mercenaire
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Touille Kasia

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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitimeVen 25 Fév - 17:12

effectivement, c'est très long, mais c'est bien écrit

qualité et quantité, comment refuser ?

Avis positif
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MessageSujet: Re: Ra'Zhid, Patte de Velours    Ra'Zhid, Patte de Velours  Icon_minitime

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